Aujourd’hui, j’ai participé à une formation relativement intéressante. Elle était principalement axée sur la communication. Un des exercices proposé par la formatrice était de s’exercer quelques minutes avec un partenaire. L'objectif était de déterminer les choses qui comptaient le plus pour lui dans un contexte donné (en l’occurrence sa situation professionnelle).
Au cours de mon entretien, j’ai pris quelques notes mais l’envie me démangeait de faire une mind map. Je me suis toutefois retenu pour ne pas susciter l’interrogation chez mon partenaire et éviter de perturber sa concentration. Une fois, l’exercice fini, j’ai profité de la courte pause pour emprunter quelques marqueurs de couleurs mis à notre disposition et j’ai réalisé rapidement un mind map exposant les centres d’intérêts de mon collègue. A son retour, je me suis fait un plaisir de lui expliquer ma démarche et de lui offrir. Il s’exclama « Wouah ! Did you mindmap me ? ». Il a été surpris par le geste mais pas par le contenu. Une mindmap façon Buzan ne lui était pas inconnu et le sujet semblait beaucoup l’intéresser. Il m’a fait le plaisir de photographier le mind map que je partage volontiers avec vous.
Le mind map n’est effectivement pas très élaboré mais ce n’est pas le sens premier de ce billet. Il s’agit ici de démontrer qu’il est aussi un outil de socialisation et qu’il apporte facilement du plaisir à celui qui le réalise mais aussi à celui qui le reçoit.
Une expérience similaire m'est arrivée lors du départ d'un collègue.
RépondreSupprimerSelon la tradition, chacun devait signer une carte et l'accompagner d'un petit mot. J'avais, en guise de "mot", composé une mini-carte résumant les qualités de ce collègue et les bons souvenirs que je gardais de notre collaboration.
Le plaisir réside dans les mots-clés, qui évoquent immédiatement le même événement (quoique pas nécessairement le même souvenir).